Gravure, Rainette, Incision.
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Gravure, Rainette, Incision.
Bonjour,
Pour illustrer encore un peu la demande de Brett sinclair, quelques photos et explications.
Pour protéger la couture de tenue de la semelle d'usure des agressions, particulièrement en industrie, le Petits points qu'il soit en goodyear, en norvégien, en sandalette etc..., dans le blake avec toutes les manières bonnes ou mauvaises avec toutes les possibilités que permet cette couture,
trois possibilités.
Pour les coutures en tenue de procédé de montage, il en va différemment, elle est entièrement à l'abri dans le goodyear, visible dans le norvégien sur la tige extérieurement, mais sans usure réelle autre que l'altération celle du vieillissement sans entretient,
Pour le blake, c'est un peu différent puisque cette couture même en tenue invisible dans le goodblake côté semelle, elle peut être usée côté intérieur, par le frottement du pied. Des semelles de propreté peuvent être les bien venues. Certains fabricants se réfugient derrière cette raison et posent ses PPP, dans tout cela du bon et du mauvais.
Un autre problème se pose et non des moindres, recoudre dans les points, j'en parle ici on pourra selon ses désirs allez visiter.
http://tictac-cordonnier.blogspot.com/2009/08/recoudre-dans-les-points-blacke-petits.html
La GRAVURE, sans problème autre que le savoir faire , c'est pour moi le maniement le plus difficile dans cette opération au tranchet, mais sont disponibles de petites machines des gravureuses réservées à l'artisanat, j'en ai une je m'en sers tellement peu " jamais " que j'ai été incapable de remettre la main dessus ce matin.
Lorsqu'il y a une gravure à faire, l'artisan les fait à la main.
La Rainette, Avec le petit outil en photo, en utilisation manuelle ou mécanique.
L'Incision, avec le petit accessoire positionné dans certaine machine à coudre.
Il m'arrive de faire ces incision au tranchet dans différentes matières, mais particulièrement des des Rugs et des Crépex, pour encastrer la couture de bouts qui se décollent sans cesse venant de l'industrie.
Sur ce type de machine à coudre, ici une gritzner, qu'elle soit manuelle ou électrique, sur pieds ou sur établi, on distingue à droite de l'aiguille, le petit doigt d'entrainement qui comporte ce couteau qui coupe le cuir à chaque point par une incision très fine ou la couture s"encastre par la tension du fil, prisonnière par le cuir qui se referme immédiatement sur elle, on peut accentué le phénomène par un petit martelage. N'oublions pas que le cuir est mouillé avant le travail, c'est du moins ainsi que je procède.
Le petit accessoire interchangeable avec des fonction diverses d'entrainement ou d'entrainement et de coupure en même temps.
Une vue du poste de fraisage sur le banc de finissage,
EN HAUT : la fraise à talon universelle, elle peut servir au fraisage des lisses.
AU MILIEU : la fraise à bayonnette interchangeable pour le fraisage des lisses, différentes en largeur et en forme, elle peuvent servir également au fraisage de certains talons, c'est du moins ce qu'il m'arrive de faire.
EN BAS : en bout d'arbre principal, le verrouillage à bayonnette qui en utilisation courante comporte la queue de talon, mais peut voir s'adapter, queue de talon, brosse, carde, rainette etc...
L'outil mécanique avec sa bayonnette, on peut le mettre sur la fraise interchangeable au milieu pour les lisses et en bas sur l'arbre principal, personnellement, je le mets en position haute plus pratique pour moi étant assez grand.
On distingue mieux le système de la bayonnette.
l'outil à main, comme celui mécanique produit une gorge de 1 mm à peu près de large, l'écartement est réglable par une visse sur le côté qui permet le coulissement de l'index, la profondeur est faite par l'utilisateur, par le nombre de passages et la pression sur la chaussure.
l' écartement par rapport du bord de la semelle est défini par l'emplacement exacte de la couture, en effet il est particulièrement inesthétique, de voir la couture petit point en dehors de sa rainette. Pour ce faire, dans le cas d'une Rapide ou l'on coud côté semelle d'usure, pas de problème, comme pour une couture blake également, mais pour les machines genres, SD 28, Junker, Frobana etc...il en va différemment la meilleure solution est de faire à "vide " deux ou trois points qui indique avec précision l'emplacement futur de la couture, facile à dire pas toujours à faire.
Pour l'incision aucun problème, puisque c'est la le doigt d'entrainement qui coupe à l'endroit exacte à l'emplacement de la couture, les zig zag ne posent pas de problème.
J'espère avoir éclairé un peu ce gros problème des coutures, surtout celui de recoudre dans les points, coudre ne pose pas de problème.
Très amicalement, Tictac
Pour illustrer encore un peu la demande de Brett sinclair, quelques photos et explications.
Pour protéger la couture de tenue de la semelle d'usure des agressions, particulièrement en industrie, le Petits points qu'il soit en goodyear, en norvégien, en sandalette etc..., dans le blake avec toutes les manières bonnes ou mauvaises avec toutes les possibilités que permet cette couture,
trois possibilités.
Pour les coutures en tenue de procédé de montage, il en va différemment, elle est entièrement à l'abri dans le goodyear, visible dans le norvégien sur la tige extérieurement, mais sans usure réelle autre que l'altération celle du vieillissement sans entretient,
Pour le blake, c'est un peu différent puisque cette couture même en tenue invisible dans le goodblake côté semelle, elle peut être usée côté intérieur, par le frottement du pied. Des semelles de propreté peuvent être les bien venues. Certains fabricants se réfugient derrière cette raison et posent ses PPP, dans tout cela du bon et du mauvais.
Un autre problème se pose et non des moindres, recoudre dans les points, j'en parle ici on pourra selon ses désirs allez visiter.
http://tictac-cordonnier.blogspot.com/2009/08/recoudre-dans-les-points-blacke-petits.html
La GRAVURE, sans problème autre que le savoir faire , c'est pour moi le maniement le plus difficile dans cette opération au tranchet, mais sont disponibles de petites machines des gravureuses réservées à l'artisanat, j'en ai une je m'en sers tellement peu " jamais " que j'ai été incapable de remettre la main dessus ce matin.
Lorsqu'il y a une gravure à faire, l'artisan les fait à la main.
La Rainette, Avec le petit outil en photo, en utilisation manuelle ou mécanique.
L'Incision, avec le petit accessoire positionné dans certaine machine à coudre.
Il m'arrive de faire ces incision au tranchet dans différentes matières, mais particulièrement des des Rugs et des Crépex, pour encastrer la couture de bouts qui se décollent sans cesse venant de l'industrie.
Sur ce type de machine à coudre, ici une gritzner, qu'elle soit manuelle ou électrique, sur pieds ou sur établi, on distingue à droite de l'aiguille, le petit doigt d'entrainement qui comporte ce couteau qui coupe le cuir à chaque point par une incision très fine ou la couture s"encastre par la tension du fil, prisonnière par le cuir qui se referme immédiatement sur elle, on peut accentué le phénomène par un petit martelage. N'oublions pas que le cuir est mouillé avant le travail, c'est du moins ainsi que je procède.
Le petit accessoire interchangeable avec des fonction diverses d'entrainement ou d'entrainement et de coupure en même temps.
Une vue du poste de fraisage sur le banc de finissage,
EN HAUT : la fraise à talon universelle, elle peut servir au fraisage des lisses.
AU MILIEU : la fraise à bayonnette interchangeable pour le fraisage des lisses, différentes en largeur et en forme, elle peuvent servir également au fraisage de certains talons, c'est du moins ce qu'il m'arrive de faire.
EN BAS : en bout d'arbre principal, le verrouillage à bayonnette qui en utilisation courante comporte la queue de talon, mais peut voir s'adapter, queue de talon, brosse, carde, rainette etc...
L'outil mécanique avec sa bayonnette, on peut le mettre sur la fraise interchangeable au milieu pour les lisses et en bas sur l'arbre principal, personnellement, je le mets en position haute plus pratique pour moi étant assez grand.
On distingue mieux le système de la bayonnette.
l'outil à main, comme celui mécanique produit une gorge de 1 mm à peu près de large, l'écartement est réglable par une visse sur le côté qui permet le coulissement de l'index, la profondeur est faite par l'utilisateur, par le nombre de passages et la pression sur la chaussure.
l' écartement par rapport du bord de la semelle est défini par l'emplacement exacte de la couture, en effet il est particulièrement inesthétique, de voir la couture petit point en dehors de sa rainette. Pour ce faire, dans le cas d'une Rapide ou l'on coud côté semelle d'usure, pas de problème, comme pour une couture blake également, mais pour les machines genres, SD 28, Junker, Frobana etc...il en va différemment la meilleure solution est de faire à "vide " deux ou trois points qui indique avec précision l'emplacement futur de la couture, facile à dire pas toujours à faire.
Pour l'incision aucun problème, puisque c'est la le doigt d'entrainement qui coupe à l'endroit exacte à l'emplacement de la couture, les zig zag ne posent pas de problème.
J'espère avoir éclairé un peu ce gros problème des coutures, surtout celui de recoudre dans les points, coudre ne pose pas de problème.
Très amicalement, Tictac
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