L'humour, la plus belle arme !

Gentlemen !

N'ayant pas trouvé chaussure à mon pied sujet à mon goût, (mais ai-je bien cherché???) je propose d'ouvrir un recueil concernant les plus belles répliques vécues, lues ou entendues, ici même !

Et voici la première :

It happened at a New York Airport. This is hilarious. I
wish I had the guts of this girl. An award should go to the United
Airlines gate agent in New York for being smart and funny, while
making her point, when confronted with a passenger who probably
deserved to fly as cargo. For all of you out there who have had to
deal with an irate customer, this one is for you.
A crowded United Airlines flight was canceled. A
single agent was re-booking a long line of inconvenienced travelers.

Suddenly, an angry passenger pushed his way to the desk. He slapped his ticket on the counter and said, "I HAVE to be on this flight and it has to be FIRST CLASS."

The agent replied, "I'm sorry, sir. I'll be happy to try
to help you, but I've got to help these folks first; and then I'm
sure we'll be able to work something out."

The passenger was unimpressed. He asked loudly, so that
the passengers behind him could hear, "DO YOU HAVE ANY IDEA WHO I AM?"

Without hesitating, the agent smiled and grabbed her
public address microphone. "May I have your attention, please?", she began, her voice heard clearly throughout the terminal. "We have a passenger here at Gate 14 WHO DOES NOT KNOW WHO HE IS. If anyone can help him with his identity, please come to Gate 14".

With the folks behind him in line laughing hysterically,
the man glared at the United Airlines agent, gritted his teeth, and said, "F*** You!"

Without flinching, she smiled and said, "I'm sorry sir,
you'll have to get in line for that, too."

Life isn't about how to survive the storm, but how to
dance in the rain...

une traduction résumée :

Dans un aéroport, une hôtesse doit recaser tous les passagers d'un vol annulé. D'une longue queue de voyageurs mécontents, un passager passe devant toute le monde et crie à l'hôtesse :
"JE DOIS ÊTRE SUR CE VOL ET EN 1ere CLASSE !!!!"
l'hôtesse navrée récuse le passager en lui demandant d'être patient et d'attendre son tour.
Celui-ci répond fortement :
"AVEZ-VOUS UNE IDÉE DE QUI JE SUIS ????"
Sans hésiter, l'hôtesse lui sourit puis prend son micro et passe cette annonce dans le hall de l'aéroport :
"Puis-je avoir votre attention, s'il vous plait ? nous avons un passager ici à la porte 14 qui ignore qui il est. Si quelqu'un peut nous aider à l'identifier, s'il vous plait, présentez-vous à la porte 14"
Les passagers qui faisaient la queue se mettent à hurler de rire et le grossier personnage lance un grimaçant "FUCK YOU!"
L'hôtesse répond alors:
"Désolée, pour ça aussi, il va falloir faire la queue"

Très bon !

C'est le sujet approprié pour ressortir toutes les citations de Churchill et pourquoi pas même du Général de Gaulle et sa fameuse saillie sur les jolis noms d'emprunt par exemple.

pascer : excellentissime, j'ai bien ri ! Cela aurait très bien pu figurer dans " Y-a-t-il un pilote dans l'avion" ce genre de réplique.

Pour ma part, j'en ai une, que j'ai vécue il y a quelques temps. J'étais en trois-pièces à ce moment, chose à laquelle je commençais à me faire. Je devais aller chercher du pain, tout bêtement. En discutant de manière bien sympathique avec la boulangère, de tout et de rien, elle me fit, au moment ou j'apprêtais à partir: "Vous vous habillez-tout le temps comme ça?" l'air interloqué, et sérieux en fait...
"Sauf pour les mariages et les enterrements..." lui répondis-je, provoquant un petit rire amusé de sa part

Faut dire que depuis le temps que je passais à cet endroit souvent bien mis, fallait bien que cela sorte tôt ou tard. Et c'est sorti comme ça, sans réfléchir. Du coup, c'est un peu le genre de réplique "armée" contre la gêne !

Classique mais toujours efficace.

Lady Astor : "Sir, if you were my husband, I would poison your drink."
Sir Winston Churchill : "Madam, if you were my wife, I would drink it.".

Ce genre de réplique qu'on rêve de sortir au bon moment.

Hahahahahahaha , magnifique , j'ai tellement rigoler !!!

Bon, ce n'est pas exactement une réplique -pas du tout en fait- mais plutôt deux jours mémorables qui se sont déroulés en décembre dernier à l'occasion de mon second stage de récupération de points à l'espace Rambuteau. Les participants étaient si haut en couleur qu'ils méritent bien tous une petite présentation.


Au menu :

Une pute
Un alcoolique de 22 ans
Un excité qui se déchaine contre les arbres
le sosie de Bertrand Blier
Un analphabète qui ne parle qu'arabe et baragouine avec un sourire désarmant quand il s'exprime en Français
Une star de la chanson qui passe incognito
Deux animateurs complètement à l'ouest, chacun dans un style bien différent


alors, je commence :

convocation à 8:15 : je me lève à 6h30 , réveille mon mini-moi de 2 ans, file en RER jusqu'à Rambuteau dépose le fiston au beau père : chouette, avec le métro on arrive à l'heure . Tout le monde arrive à 8:15 sauf un. Le premier animateur se pointe à 8:35, s'excuse pas. le second se pointe à 8:45 idem.
Un dernier gus se pointe à 9h. On apprendra plus tard qu'il est directeur commercial d'un groupe de média, le type n'a pas lâché son portable.

Dans les deux guignols, vous z'avez un beur, sympa, la petite cinquantaine, qui donne accessoirement des cours en universités mais fait des fautes de Français^^. L'autre est moins marrant : 45 ans, provincial, écolo, archi rigoureux, il se la joue souple mais nous fait la morale toutes les deux secondes. là où le premier le fait avec le sourire,, lui balance ses grands sermons. Quand notre directeur machin pianote sur son portable, le gus s'énerve et pète un câble en live : on est tous abasourdis vu que depuis le début il nous cause savoir-vivre... Finalement, sous la houlette de votre serviteur, il se fait prendre à partie par 5 stagiaires : ça tourne au pugilat. On se marre.

Dans les présentations, vous avez :

un étudiant, tout sympa, qui débarque de sa province. On apprend qu'il a fait plusieurs tests médicaux, qu'il est alcoolique et qu'il se soigne (22 ans)

Un gars qui se dit artiste, nous explique qu'il a conduit très jeune des voitures très puissantes (des Ferrari à demi mots) L'animateur lui dit de préciser son art, l'autre dit "chanteur" ça piaffe : il a l'air bien con à dire ça au milieu des tous ces cadres et autres.
3 heures passent et le type enlève ses lunettes : oh Saperlipopette ! je connais cette gueule, c'est Alain Chamfort. Comme un con, je m'excuse de pas l'avoir reconnu plus tot, il me dit en souriant que y'a pas de problème, et je reste discret. Le pire c'est que le gus prend la parole de temps en temps sans que personne ne le reconnaisse, je me dis qu'il a du se prendre une bonne claque pour son égo quand l'animateur lui a demandé de préciser ce qu'il fait, dans l'indifférence générale


Une autre : fessier bombé et ferme, taille de guêpe, poitrine opulente, la cinquantaine refaite, maquillée vulgaire. Quand on lui demande ce qu'elle fait dans la vie elle dit, ingénue "je suis coach sportif, je travaille à Boulogne, c'est d'ailleurs là-bas que j'ai chopé mes PV" l'animateur lui dit :"mais y'a pas de quoi faire de gros excès au bois la journée" là elle répond, un peu gênée "j'ai des horaires décalées... je travaille la nuit"

Lorsqu'un quarantenaire cadre dans le nucléaire (sosie de Bertrand Blier, petit gros à la voix caverneuse, balance :"c'est nul, on a même pas de café dans ce stage !" je lui réponds "ouais, mais on a des putes" hilarité générale qui échappe à la moitié de la salle.

je me suis bien marré durant ces deux jours et le partager avec d'autres a été un vrai plaisir. Moi ça m’a coûté 250 euro et 2 jours pleins. Mais quels fous rires ! Le lendemain de cette première journée, alors que celle-ci s’annonçait bien morne avec ses études statistiques je me suis tapé avec mon voisin de table un fou rire tel que j’ai dû quitter la salle pour ne pas incommoder ceux qui suivaient. Mon voisin est resté, il a le rire muet.
Mais bon, je vous raconterai ça plus tard, je continue mon tour de table :

Dans la vingtaine de stagiaire y’en a un-que l’on appellera Momo- qui est un sacré type : il se tait 99% du temps, souffle quand une question est posée et quand il l’ouvre.. quand il l’ouvre c’est juste hilarant. Pour se l’imaginer il suffit d’imaginer un gars de taille moyenne, le visage gonflé, des bajoues parsemées de poils, des gros yeux globuleux et une voix qui sonne comme une insulte. L’animateur :
« vous faites quoi dans la vie Momo ?
- De tout. (sursaut d’orgueil) Mais à mon compte !
- C’est-à-dire ?
- Ce qui se présente. (chaque réponse est ponctuée d’un geste ample de la main)
- Vous conduisez quoi comme véhicules ?
- De tout.
- C’est-à-dire ?
- Des camions, des voitures… de tout quoi !
- Vous faites quoi comme infractions le plus souvent ?
- Moi ? J’ai rien fait msieur ! c’est juste que les condés ils étaient là, quoi.
- Mais… ?
- Vitesse msieur ! Voilà, faut dire, vla ce qu’on me donne pour travailler : une S.500. Moi, on me dit : tu vas de là à là. Alors je prends la S.500 et je course. Mais la S.600 c’est pareil. Je roule ! la S.300 aussi !
- La S 48 ? (formulaire administratif d’annulation de permis)
- Ah non ! Ca je prends pas !
- Mais sinon, Momo, vous savez combien de points il vous reste ?
- Ah… non, je sais pas (haussement d’épaules) : le juge, il a pas dit ! »
Beaucoup plus tard il rouvrira la bouche pour notre plus grand plaisir, lorsque l’autre animateur lui demande ce qu’il pourrait opérer comme changements pour améliorer sa conduite :
Réponse de l’intéressé :
« ben tu vois, moi le problème, c’est les stop. Dès fois à 5h du mat, à Paris y’a personne, ben je passe, moi.
- Mais non ! il faut s’arrêter !
- Voilà : c’est ce que je dis. Je m’arrêterai s’ils mettaient des feux rouges à la place parce que le feu stop…. (hésitations avec les mains) on sait pas ce qu’il dit ! Tu passes ? Tu passes pas ? Tu vois, ça c’est pas logique.
Gerard, notre cadre dans le nucléaire petit homme trapu assez drôle lui répond :
« non mais Momo, le truc c’est pas de remplacer les stop par des feux rouges, le truc c’est de t’apprendre le code »


Le personnage que je vais vous présenter maintenant a été le premier –après moi- à prendre la parole. Dans la salle endormie à 8 :30 du mat, dès qu’il a ouvert sa bouche on s’est tous dit que le stage promettait d’être amusant : un excité !
Petit, maigrichon, une espèce de bracelet en cuir, barbe de trois jours, incapable d’aligner deux phrases sans gesticuler. Nous l’appelleront Soan (pour ceux qui connaissent le chanteur, il a le même physique)
Alors lui, déjà, c’est le cas désespéré du groupe : déjà 2 permis de fumés, il est là parce qu’il a (encore) reçu la fameuse lettre RAR S48i, celle qui dit bye bye à votre permis de conduire. Plombier de son actif, il a le sang chaud des Espagnols, une logique virile assez obtuse et une haine viscérale du système. L’animateur :
« alors Soan, j’ai cru comprendre que c’était là le stage de la dernière chance… vous n’avez peut-être pas conscience de la gravité de la situation. Vous avez déjà eu des accidents ?
- Ben ouais : j’ai cassé 10 voitures.
- 10 voitures ? Mais vous avez du faire des blessés ?
- Aucun monsieur. J’étais seul.
- Mais on ne casse pas une voiture sans créer des dommages autour de soi ?
- Si. Moi j’ai blessé que des arbres.
- (taquin, l’animateur : ) en fait, vous en voulez aux arbres ?
- Non. Moi je respecte tout le monde. Je suis très respectueux… du moment qu’on me respecte.
Écarquillements de sourcils dans la salle. L’animateur lui demande de poursuivre :
- Ben ouais : un motard y peut passer devant moi quand je suis avec ma camionnette. Mais Saperlipopette, s’il démarre pas quand c’est vert, là, je me vénère !
- Et vous faites quoi ?
- Ca dépend. Y’a plusieurs moyens de se faire respecter...
- Mais, il suffit d’avoir une conduire respectueuse.
- Mais le mec me respecte pas en me faisant chier à passer devant moi sans démarrer !!
Plus tard, dans le cadre d’un travail en mini groupe, tour de tables de notre estimation des tués sur la route (89 000) Soan annonce un chiffre hallucinant (400 000) l’animateur ne comprend pas un tel chiffre, Soan défend sa position, en vain. On finit par lui faire remarquer, dans un rire général, que par blessés, on entend pas les arbres…


Je vous ai parlé de ce cadre dans le nucléaire, qui ponctuait de temps en temps les interventions de chacun d'un bon mot. Pour vous le situer, c'est donc -et toujours- Bertrand Blier avec des cheveux, assez petit, grosse voix caverneuse, son record de vitesse (il doit avoir 45 ans) est de... 170 km/h. Pas vraiment un excité, il a perdu ses points car il fait 60 000 km par an (entretien des centrales) et se fait gauler par les passages de 130 à 110 sur autoroute. Nous l'appellerons Bertrand. Lui est revenu le privilège d'un fou rire général à propos des différentes conséquences de retrait de points. On a ainsi appris qu'on ne peut passer indéfiniment des stages (1 par an) et que s'en suivrait un rendez-vous obligatoire avec un psychologue. Forcément, se voir retirer tous ses points de manière répétée, on ne peut être qu'un dangereux criminel ! remarquez que si la consultation est aussi sérieuse que le stage, ce devrait, à l'instar du précédent, n'être qu'une formalité parmi d'autres pour nous prendre tu temps et de l'argent.

Afin de nous faire prendre conscience de notre irresponsabilité l'animateur nous disait à quel point les stagiaires ne se rendaient aux stages qu'une fois leur capital de points bien entamé et nous a fait part d'un stagiaire catastrophé d'avoir perdu 1 point et qui dépensait 250 euro et 2 journées pleines pour n'en récupérer finalement qu'un. Haussement de sourcils de Bertrand, sa grosse voix a ponctué l’anecdote d'un stoïque : "et vous ne l'envoyez pas chez le psy, lui ?

Enfin, je vous ai parlé de notre stagiaire avec jean extra slim et talons de 15 cm... Nous l'appellerons Brigitte. Ben à la fin du stage l'animateur a fait un tableau en notant :
1/ l'infraction la plus courante
2/ l'avantage qu'on en tirait
3/ le risque.

Notre amie péripathétipute a annoncé, de sa voix fluette, totalement ingénue : "moi, c'est la vitesse"
L'animateur a souri, a risqué :" et en roulant vite au Bois de Boulogne, vous risquez quoi ?"
J'ai répondu à sa place, assez discrètement pour ne pas la vexer, "à rouler trop vite, elle risque de perdre des clients !"
Hilarité continue de mon voisin de table et, victime de ma propre blague, je suis parti également dans un fou rire insurmontable, largement relancé par les réponses de Brigitte "ben oui, quoi... je fais pas attention... hein..." J'ai du quitter la salle, pleurer et revenir, exténué.

Tiens, une vraie réplique cette fois :

Lors d'un séjour d'été à la montagne (à Valmorel) on avait pris l'habitude de déjeuner toujours à la même table à l'hôtel. Comme tout le monde prend très vite ses habitudes, on s'est retrouvés toujours près d'un couple la petite soixantaine bien conservée, extrêmement bien mis, le menton haut, tout à fait snob. Nous on avait la vingtaine, en tenue de rando (normal, on prenait les chemins tout de suite après). Ce couple a choisi finalement de nous adresser la parole et la dame, piquante, ne se genait pas pour nous faire comprendre qu'on n'y connaissait rien à la montagne. Le lendemain de notre première grosse randonnée, on se retrouve dans le resto de l'hôtel pour le petit déj...
Elle : "alors, le pic sans tête : vous l'avez fait ?
Nous : "Oui"
- Ben vous avez du bien dormir cette nuit !
Agacé, je lui rétorque :
- Vous savez, à notre âge, la nuit : on ne dort pas"

Elle nous a plus adressé la parole les 5 jours qui suivirent...

Merci Bosie, j'ai passé un excellent moment avec ton résumé, quelques crampes au niveau de la machoire aussi . Quel stage épique! J'ai tous mes points et ne risque pas d'en perdre mais "c'est ou qu'on s'inscrit?" Je veux le même !

Sinon je remets celle que j'ai mis ailleurs il n'y a pas si longtemps.
Au hasard d'un forum entre des débats enlevés sur les tarifs de montres, du trop cher, des couts de production et autres rigolades forumesques...
Débats enlevés ponctués par cette admirable phrase qui me restera:
"le but ce n'est pas de se faire enc... c'est d'être consentant, c'est ca l'horlogerie de luxe"
Alexander Mahone était son pseudonyme à ce moment là. C n'est pas limité à l'horlogerie, on peut l'appliquer à n'importe quel domaine du "luxe".

Moi aussi j'ai bien rit au récit de Bosie!!!

Une autre, légende urbaine ou vraie histoire, je ne sais pas mais j'aime bien.
Sur un parking Parisien, relativement plein, un cinquantenaire bien portant en Range cherche une place pour stationner. Quand il a enfin trouvé, surgit une minette en mini austin qui lui pique sa place devant ses yeux. Elle se gare, sort de son véhicule et lance au mec: "eh ouais, c'est ça d'avoir 30 ans et du culot"
Le type ne se démonte pas, constate que la place en face de la mini s'est libérée dans l'action, il démarre, pousse violemment la mini avec son range prend la place qui lui incombait, ouvre sa fenêtre et répond á la jeune fille: "Et oui, c'est ça d'avoir 50 ans et du pognon"

Merci Cisco. Et je suis tout à fait d'accord avec cette phrase et quelque part, c'est mon business. Quoique le service autour du produit vaut largement la plus value...

Pour prendre un exemple bien dans l'esprit du forum : quel est l'intérêt de prendre un embauchoir griffé Weston quand on sait que ce même embauchoir coûte jusque 3 fois moins cher chez un bon cordonnier ? Le plaisir de la griffe, justement. Une simple plaque en laiton. Mais je ne crois pas qu'on se fasse e.... quand on achète en connaissance de cause, c'est plutôt la rémunération du plaisir. Voilà pourquoi je n'ai jamais aimé les soldes et les bousculades en cabine, les magasins d'usine et ses produits griffés présentés comme des patates sur un étal...

Allez, pour repartir dans le sujet du topic :

Y'a une vingtaine d'années un marchand d'art se pointe dans la boutique paternelle. Il se la raconte un peu -Môsieur a son appart' avenue Montaigne- en devient fatiguant et, voyant que mon père reste insensible à sa mousse, sort une liasse de billets et dit :
"j'ai de quoi payer cash.
Mon père sort de sa poche arrière du pantalon une liasse 3 fois plus grosse et lui répond :
- et on a de quoi vous rendre la monnaie.


ce qui est dingue, c'est que 20 ans plus tard, tandis que je démarrai mon activité dans un dépôt, bien loin de la boutique familiale bien placée entre l'Etoile et Neuilly, le même type (!) se pointe dans mon modeste entrepôt du 9-3 et ne me reconnais pas. Il a vieilli, bien sûr mais je le reconnais au nom et à cette sale habitude de prendre les gens de haut. Le mec a mégoté euro par euro et a fini par repartir, comme la première fois, sans rien acheter. A croire qu'il passe sa vie à se faire mousser...

Looooooooooooolllllll !!!!!! Bosie et guilom13 , vous m'avez tué , j'ai tellement rigolé que j'avais les larmes aux yeux .

Je vous raconter une histoire dont j'ai vécu avec une amie , on va l'appeler Samantha :

Le Prof , voyant nos faibles notes en communication lors du dernier contrôle , se lève et dit :

"Que ceux qui pensent qu'ils sont idiots se mettent debout ! "

Alors Samantha se lèva .

Le Prof alors lui demande pourquoi elle se croit idiote alors Samantha dit :

Je le crois pas mais je voulais pas ce que vous soyez la seule personne debout.

Sans vouloir faire le pète sec, quel humour y a-t-il à traiter une péripatéticienne de p*te ?

Quelque chose m'échappe.

Pourquoi tant de violence !!! loool , elle fait juste son métier .

Une réplique historique entendue il y a 15 ans et dont je me suis servi 2-3 fois depuis pour argumenter.

Un corsaire arrête un célèbre pirate:
- Nous, les corsaires, avons des idéaux, nous nous battons pour l'honneur! Vous, les pirates, n'avez pas d'honneur. Vous ne vous battez que pour l'argent.
- Ne nous battons-nous pas pour obtenir ce qu'il nous manque!

PiedBeau a écrit:Sans vouloir faire le pète sec, quel humour y a-t-il à traiter une péripatéticienne de p*te ?

Quelque chose m'échappe.

parce que justement, elle ne doit pas l'être. Mais elle en a tellement le look, la manière de causer... à la sortie du stage elle était attendue par deux types. Des flics, selon l'un des animateurs. Elle était surtout vulgaire et (fausse) ingénue. Je ne sais pas ce qu'elle est mais je sais ce qu'elle ne voulait pas qu'on croie à son sujet. Loupé...

Quoiqu'il en soit ce genre de profil a du mal à passer inaperçu (les autres femmes au nombre de 2 étaient habillées normalement en pareille occasion (décontracte, les paupières lourdes le mati: -comme nous tous, quoi, on était pas vraiment à la fête) tandis que elle, avec son jean tellement serré qu'on aurait dit deux baguettes plantées dans des chaussures à talons d'une dizaine de centimètres de hauteur, et le Bombers sur le haut largement décolleté, le maquillage vulgaiiiiiiiiiiiiiiiire comme dirait Coluche, et la perruque... tout y était. Comme souvent dans situations comiques, je crois surtout que c'est le contraste vulgarité/innocence qu'elle s'employait à maintenir même quand tout le monde riait sur son compte (il suffisait qu'elle cause pour faire sourire) qui prêtait à rire.

Ok, merci d'avoir éclairé ma lanterne !

bosie a écrit:

PiedBeau a écrit:Sans vouloir faire le pète sec, quel humour y a-t-il à traiter une péripatéticienne de p*te ?

Quelque chose m'échappe.

parce que justement, elle ne doit pas l'être. Mais elle en a tellement le look, la manière de causer... à la sortie du stage elle était attendue par deux types. Des flics, selon l'un des animateurs. Elle était surtout vulgaire et (fausse) ingénue. Je ne sais pas ce qu'elle est mais je sais ce qu'elle ne voulait pas qu'on croie à son sujet. Loupé...

Quoiqu'il en soit ce genre de profil a du mal à passer inaperçu (les autres femmes au nombre de 2 étaient habillées normalement en pareille occasion (décontracte, les paupières lourdes le mati: -comme nous tous, quoi, on était pas vraiment à la fête) tandis que elle, avec son jean tellement serré qu'on aurait dit deux baguettes plantées dans des chaussures à talons d'une dizaine de centimètres de hauteur, et le Bombers sur le haut largement décolleté, le maquillage vulgaiiiiiiiiiiiiiiiire comme dirait Coluche, et la perruque... tout y était. Comme souvent dans situations comiques, je crois surtout que c'est le contraste vulgarité/innocence qu'elle s'employait à maintenir même quand tout le monde riait sur son compte (il suffisait qu'elle cause pour faire sourire) qui prêtait à rire.

ouais, mais bon quand même..... je dois virer vieux reac

globalement, traiter une femme de p.... j'suis pas certain de l'humour.
(à contrario, si on me force à me lever à 6h30, je suis prêt à insulter tout le monde en même temps...)

Excellent sujet, idéal pour travailler les zygomatiques.
A mon tour donc d'enrichir le débat :

Autoroute A4 - Banlieue parisienne 22h, trafic fortement ralenti dû à une fermeture de voies (3 sir 4) pour travaux.

Nous sommes 4 collègues rentrant de province à bord d'un monospace dont le conducteur peste depuis 20 minutes.
Soudain, il voit sur la file de droite des voitures emprunter la sortie réservée aux services d'urgence, il se lance : "Je sais où cela débouche, les gars, avant 23h vous êtes chez vous!"
On suit donc les autres voitures et l'on débouche effectivement sur un rond-point où nous attend une camionnette de police.
Un agent arrête un à un les véhicules, je dis au conducteur que l'on sait fait avoir mais qu'il faut savoir reconnaître ses torts.
Il n'a pas la même vision des choses et me demande de le laisser faire, il a l'habitude.
La fenêtre s'abaisse :
- Bonsoir messieurs, vous savez que vous venez d'emprunter une sortie réservé aux urgences?
- Pardonnez moi monsieur l'agent, nous avons dû passer outre l'interdiction, ma femme est enceinte et elle est sur le point accouché.
- C'est ça et les trois autres ce sont les rois mages?

Le seul véhicule immobilisé et verbalisé ce soir là fût le notre...


Dijon 14 Juillet 2006 21h30.

Mon oncle gare sa grosse BMW à cheval sur une place de parking.
En voyant cela, je lui fait remarqué qu’il prive une autre famille de venir assister au feu d’artifices et que cela n’est pas très civil de sa part (Question d'éthique)
Réponse de l’intéressé : J’en ai rien faire !
Une heure plus tard, retour au parking, j’aperçois un mot accroché au pare-brise dont la belle écriture déclame : « Si tu baises comme tu te gares, ne t’étonne pas d’être cocu »
Fou rire général, le mot fût encadré par ma tante et accroché dans son garage !


Saint-Maur un Samedi matin de Novembre 2012

Dans une rue pavillonnée, les places autorisées sont balisées au sol.
J’aperçois une fois encore une Fiat 500 immatriculée 75, garée devant ma Lancia ou plutôt collée à mon pare-choc avec la seule roue arrière à l’intérieure du marquage au sol.
Je commence à secouer la tête et souffler quand je vois se retourner une quadra un peu poupée maquillée façon voiture volée (C'est ta stagiaire Bosie?)
Elle revient vers sa voiture, s’arrête à quelques mètres et me sort un laconique « Mais qu’est-qu’il y a ? »
Je lui réponds posément : « En tant que parisienne, vous ne devez pas être au fait du code de la route et des usages qui en découle mais qu’ici, ville civilisée s’il en est, la tradition automobile veut que l’on se gare uniquement dans les emplacements balisés.
Mais je me fourvoie peut-être, vous n’avez sans doute simplement pas remarqué ces lignes aux sols puisque vous portez des lunettes de soleil alors qu’il fait encore nuit !
La pépé piquée au vif hurle : « Connard, macho, enfoiré, etc… »
Visiblement à court d’adjectifs à mon sujet, je profite du blanc pour tirer ma flèche : « Madame, vous n’arriverez à rien par la flatterie »
Je profite de son étonnement pour accéder à monter dans mon véhicule et démarrer ma fougueuse monture et écrasant un peu la pédale des gaz.
Elle sursaute, ouvre sa portière, démarre et s’en va.
J’ai remarqué depuis qu’elle se gare toujours à trois rues de là le week-end !

excellent, Kjeldor !

dephilas a écrit:Une réplique historique entendue il y a 15 ans et dont je me suis servi 2-3 fois depuis pour argumenter.

Un corsaire arrête un célèbre pirate:
- Nous, les corsaires, avons des idéaux, nous nous battons pour l'honneur! Vous, les pirates, n'avez pas d'honneur. Vous ne vous battez que pour l'argent.
- Ne nous battons-nous pas pour obtenir ce qu'il nous manque!

rendons à Robert ce qui est à la couf'
Extrait wiki;
"Après la paix d'Amiens avec la Grande-Bretagne et alors qu'il (Robert Surcouf) participait à un dîner en présence de ses anciens ennemis britanniques, l'un d'eux lui dit : « Enfin, Monsieur, avouez que vous, Français, vous vous battiez pour l'argent tandis que nous, Anglais, nous nous battions pour l'honneur… » Surcouf lui répondit d'un ton calme : « Certes, Monsieur, mais chacun se bat pour acquérir ce qu'il n'a pas. »"

ah ! ah! ah! j'ai bien ri Kjeldor

Hi hi,

Voici quelques années, je faisais passer des oraux de fin d'année (un pensum). Arrive une étudiante, au décolleté savamment étudié et à la robe vaporeuse. L'oral est plus que médiocre, elle s'en rend compte et me dit :

- "Monsieur, je ne sais pas ce que je refuserais de faire pour avoir une bonne note !"

Je lui réponds

- "Vous pourriez peut être apprendre vos cours !"

Absolument authentique:

J'ai 6 ans. Je suis à l'école primaire. Dans la cour, à cette époque, c'était la furie des yoyos. Chacun avait le sien, chacun rivalisait pour réaliser les figures les plus improbables (si si, on peut faire des figures avec un yoyo; googlisez, vous serez surpris).
Je m'approche cranement d'un "grand" - que j'aborde pour la première fois - qui devait avoir 8 ans à tout casser.
Je prends mes airs supérieurs et lui explique qu'il n'arrivera à rien avec son yoyo, la ficelle de ce dernier étant bien évidemment trop courte!
Il me regarde une demie seconde, range son yoyo dans sa poche, ouvre sa braguette, m'exhibe son pénis d'enfant et me demande très décontracté:
" Et celle-là, elle est courte aussi?"
Il remballe, ressort son yoyo à la ficelle trop courte, et s'en va tranquillement. J'en sui resté hébété.
Assez grossier, mais pour un gosse de 8 ans, vraiment couillu.

Une spécialement adaptée à ce forum
Jean Cocteau, ayant vu au théâtre le Soulier de Satin de Paul Claudel aurait dit : Heureusement qu'il n'a pas écrit la paire !

Une autre, faite au détriment du même Cocteau.

Un journaliste se présente à son domicile pour faire un article sur lui.

Le Majordome lui ouvre et demande :

- "C'est pour le Maître ?"

- "Non, non, c'est juste pour le voir !"

et ben Le barbe, y'avait de drôles d'oiseaux dans ton école... surtout que les homme se comparent la chose que bien plus tard il me semble (on a du faire un concours -gagné - vers 13/14 ans. Alors à 8 ans... il est devenu quoi ton pote, acteur X ?

RESPECT TOTAL à Kjeldor et je pense comme bosie que le pote de le barde est devenu acteur X , c'était son destin .

kjeldor a écrit: « Si tu baises comme tu te gares, ne t’étonne pas d’être cocu »

On dirait du Audiard.

La réponse d'un de mes anciens (ancien, ancien) chef lors d'une quette pour un départ en retraite :

- Et vous lui offre quoi ?
- Des roues de vélo en carbone !
- A c'est une bonne idée lui qui c'est toujours pris pour un cadre.

La réponse d'un autre de mes anciens chef à un client mécontent et de très très mauvaise fois..

Le Client : Vos explications Monsieur C. je m'en branle...
Mon patron : Monsieur ce n'est ni l'heure, ni l'endroit...
Le Client : Oh...excusez moi dans le bâtiment on parle comme ça...
Mon patron : pas dans le mien !

Brett

Certains de mes chefs pensent spirituel de m'entreprendre sur ma particule plutôt que sur mon incompétence, ce à quoi je ne peux m'empêcher que manifestement ils ignorent que la partie tête est bien plus importante que la particule....
Encore ce midi, mon chef m'interpelle:" alors Quintus, vous travaillez?", en public et bien fort... Je me suis vu obligé de lui répondre que non, surtout pas, je trouvais cela très vulgaire, je me contente d'essayer de servir. "Et vous servez à quoi Quintus?" "Euh, là mon colonel, surtout, je sers les fesses..." ça c'est plutôt bien terminé.

rod. a écrit:
rendons à Robert ce qui est à la couf'
Extrait wiki;
"Après la paix d'Amiens avec la Grande-Bretagne et alors qu'il (Robert Surcouf) participait à un dîner en présence de ses anciens ennemis britanniques, l'un d'eux lui dit : « Enfin, Monsieur, avouez que vous, Français, vous vous battiez pour l'argent tandis que nous, Anglais, nous nous battions pour l'honneur… » Surcouf lui répondit d'un ton calme : « Certes, Monsieur, mais chacun se bat pour acquérir ce qu'il n'a pas. »"

Oups !
Décidément, les pièges de la mémoire. Merci Rod. de rétablir la citation originale, je m'en étais bien éloigné. Du coup, je vais retenir l'auteur, le contexte et l'histoire cette fois.

QuintusTh a écrit:Certains de mes chefs pensent spirituel de m'entreprendre sur ma particule plutôt que sur mon incompétence, ce à quoi je ne peux m'empêcher de répondre que manifestement ils ignorent que la partie tête est bien plus importante que la particule (parti cu..)....
Encore ce midi, mon chef m'interpelle:" alors Quintus, vous travaillez?", en public et bien fort... Je me suis vu obligé de lui répondre que non, surtout pas, je trouvais cela très vulgaire, je me contente d'essayer de servir. "Et vous servez à quoi Quintus?" "Euh, là mon colonel, surtout, je sers les fesses..." ça c'est plutôt bien terminé.

j'en déduis que tu n'es pas encore colonel, et la je suis déçu, déçu....

tu ne fous vraiment rien à part soigner ta moustache !!!

(ps me suis permis de rajouter un peu à ton texte pour ce soit lisible rapidement pour tous...

bosie a écrit:surtout que les homme se comparent la chose que bien plus tard il me semble (on a du faire un concours -gagné - vers 13/14 ans.

Merci pour cette précision dont l'intérêt capital n'aura échappé à personne, son abscence aurait certainement suscité une avalanche de questions angoissées...(il est bizarre, le titre de ce fil...l'humour pourrait être une arme ? Ca reste à démontrer...)

Koikilfred, merci d'avoir lu ce que j'avais omis.
Je suis déçu de te décevoir, malheureusement, je suis loin d'être un jour colonel....
De plus, non seulement, je ne fous rien, mais je n'ai même plus de moustache à entretenir...

@ Hesk : en fait ce "concours" improvisé a eu lieu lors d'un camping sauvage à l'occasion duquel une fille était venue nous rendre visite (encore une anecdote adolescente que je passerai sous silence) SI j'ai précisé, c'est par humour, mais aussi parce que j'avais eu droit à des remarques qui m'ont bien fait rire, rapport à mes origines... (non, je ne suis pas Noir) ce qui était drôle c'est que les deux autres justifiaient la chose comme ça

bosie a écrit:@ Hesk : en fait ce "concours" improvisé a eu lieu lors d'un camping sauvage à l'occasion duquel une fille était venue nous rendre visite (encore une anecdote adolescente que je passerai sous silence) SI j'ai précisé, c'est par humour, mais aussi parce que j'avais eu droit à des remarques qui m'ont bien fait rire, rapport à mes origines... (non, je ne suis pas Noir) ce qui était drôle c'est que les deux autres justifiaient la chose comme ça

C'était juste une taquinerie...L'adulescence, c'est bien, mais il arrive un moment où il faut envisager d'en sortir...

Ben au moins on sait que Bosie il a un gros bazar. C'est vrai que c'est important.

Shu.

correction : un bazar plus gros que les 2 autres... l'un d'eux est mort d'ailleurs, à 22 ans. Ce qui est déjà beaucoup moins drôle

shulova a écrit:Ben au moins on sait que Bosie il a un gros bazar. C'est vrai que c'est important.

Vous y croyez? Moi, je pense qu'il bluffe.

maman, j'ai rétréci papa !!

excellent, reprends vite de la potion....

- "quelle est votre taille?"
- "oh, je fais un 0.95 chaise, soit un 1.10 table, en gros...."

Une réplique qui me revient, dont j'ai été assez fier sur le moment :  je passais à Londres pour je ne sais quelle raison professionnelle, et naturellement je prends un cab pour aller de Saint Pancrace à Waterloo, c'est bien plus pratique et tellement plus folklorique que le métro.

Le dialogue donne ça :

(Le chauffeur) : "Where to, Guv ?"
(Moi) : "Waterloo"
(Le chauffeur) : "Station ?"
(Moi) : "Of course yes, I'm afraid I should be a bit late for the battle!"

Excellent!   

sherlock a écrit:Une réplique qui me revient, dont j'ai été assez fier sur le moment :  je passais à Londres pour je ne sais quelle raison professionnelle, et naturellement je prends un cab pour aller de Saint Pancrace à Waterloo, c'est bien plus pratique et tellement plus folklorique que le métro.

Le dialogue donne ça :

(Le chauffeur) : "Where to, Guv ?"
(Moi) : "Waterloo"
(Le chauffeur) : "Station ?"
(Moi) : "Of course yes, I'm afraid I should be a bit late for the battle!"

SUPERBE!!!!!!

J'étais sûr qu'elle vous amuserait.

C'est le genre de répartie qui vous console de toutes celles qui vous viennent trop tard à l'esprit.

Un peu comme dans le film Ridicule, de Chéreau, où le marquis de Machin-Chose (Jean Rochefort) se lamente d'avoir trouvé trop tard la réponse à cet odieux abbé blondin, superbement incarné par Gireaudeau, qui lui déclarait : "j'adore les groseilles, je pourrais en manger autant que Sanson a tué de Philistins"...

La réponse (tardive) de Rochefort : "Avec la même mâchoire ???"

sherlock a écrit:Une réplique qui me revient, dont j'ai été assez fier sur le moment :  je passais à Londres pour je ne sais quelle raison professionnelle, et naturellement je prends un cab pour aller de Saint Pancrace à Waterloo, c'est bien plus pratique et tellement plus folklorique que le métro.

Le dialogue donne ça :

(Le chauffeur) : "Where to, Guv ?"
(Moi) : "Waterloo"
(Le chauffeur) : "Station ?"
(Moi) : "Of course yes, I'm afraid I should be a bit late for the battle!"

    

L'année dernière, voyage professionnel à Monaco avec une gestionnaire pour voir un client. Bon déjà elle est partie avec un portable qui n'avait plus de batterie et pas de chargeur (grande professionnelle...) On nous invite a faire un tour en hélicoptère et au hangar elle demande à aller aux commodités. Le pilotes taquin lui dit qu'il y en a dans l'hélicoptère (un petit touristique) et elle dit : Ah oui, vraiment, à droite ou à gauche ? Elle pensait vraiment qu'il y en avait....

Il y a maintenant quelques années, lors d'un cours de français où il fallait faire une analyse de texte oral. Un jeune collègue avait fait une faute d'orthographe sur son Powerpoint. La prof se lève et lui amène un typex pour corriger l'erreur qui s'affichait sur le mur grâce à un bimer. Je ne vous explique même pas le fou rire que j'ai eu...

Lors d'un cours d'histoire également je devais avoir 11 ou 12 ans. La prof demande ce que les artisans du moyen-âge avait de plus qu'elle. J'ai répondu, du tac au tac, sans même m'en rendre compte. Vous savez quand la parole va plus vite que son cerveau. Du talent   Elle a fait un drôle de tête....

Une histoire que l'on m'a racontée...

Un chef d'entreprise interpelle une salariée qui était absente la veille...

Le chef d'entreprise : vous n'étiez pas là, hier ?
La salariée : Vous m'avez vu ? Non ? Alors c'est que je n'étais pas là !
Le Chef d'entreprise : Vous n'avez pas appelée ?
La salariée : Vous avez reçu un appel ? Non ? Alors c'est que je n'ai pas appelé ! Et ne me parlez pas si près vous sentez très fort l'alcool...

Brett